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Marseille : Un homme se défenestre, a prie cette égorger  lui même

Un homme « s’est défenestré avec une plaie à la gorge et est décédé » a appris 20 Minutes de source policière, confirmant une information de La Provence. Les faits se sont déroulés à  Marseille autour de 17 heures rue du Bon-Pasteur, peu après quoi une équipe du Raid « est intervenue pour ouvrir l’appartement, fermé à clef, d’où a chuté la victime ». Les forces d’élites de la police ont trouvé un appartement vide.

Les constatations d’usage sur site devront déterminer ce qu’il s’est vraiment passé dans cet appartement ce jour-là.

source https://www.20minutes.fr/faits_divers/3072823-20210628-marseille-homme-defenestre-equipe-raid-mobilisee

Marseille : Une femme chute de 19 étages lors de l’incendie de son appartement à Félix-Pyat

Le corps sans vie d’une femme a été découvert ce mardi au pied d’un immeuble situé à Félix-Pyat, dans le troisième arrondissement de Marseille, a-t-on appris des marins-pompiers intervenus sur les lieux peu avant 5 heures du matin, confirmant une information de La Provence.

Selon toute vraisemblance, elle venait de se défenestrer alors qu’un incendie touchait un appartement situé au 19e étage de l’immeuble. De grands moyens ont été mobilisés, 20 camions et une soixantaine de personnes.

Une enquête ouverte

« Deux personnes ont été évacuées de l’appartement et mises en sécurité », indiquent les marins-pompiers, qui ont maîtrisé l’incendie. Il s’agirait du mari et de l’enfant de la victime. L’appartement, lui, est détruit à 90 %.

Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de l’incendie et du décès de la femme.

source https://www.20minutes.fr/faits_divers/3073211-20210629-marseille-femme-chute-19-etages-lors-incendie-appartement-felix-pyat

L'imam toulousain Tataï jugé ce mardi pour incitation à la haine raciale

Le procès pour incitation à la haine raciale de l'imam toulousain d'origine algérienne Mohamed Tataï se tient ce mardi devant le tribunal correctionnel de Toulouse. L'imam de la Grande Mosquée de Toulouse à Empalot est accusé d'avoir tenu des propos antisémites lors d'un prêche en décembre 2017.

 La grande mosquée de Toulouse où le prêche a été donné (photo d'archives).
La grande mosquée de Toulouse où le prêche a été donné (photo d'archives). © Maxppp - XAVIER DE FENOYL

Le procès pour incitation à la haine raciale de l'imam toulousain d'origine algérienne Mohamed Tataï se tient ce mardi devant le tribunal correctionnel de Toulouse. L'imam de la Grande Mosquée de Toulouse à Empalot est accusé d'avoir tenu des propos antisémites lors d'un prêche en décembre 2017.

 

Six associations sont parties civiles : le CRIF, la LICRA, l'association cultuelle israélite de Toulouse, le bureau national de vigilance contre l'antisémitisme, l'association Ben Gourion et l'association des avocats sans frontières.

Cinq ans après la tuerie de Montauban et Toulouse

L'affaire avait secoué la région et même au-delà. Il faut se souvenir du contexte : cinq ans après la tuerie de Montauban et Toulouse, deux ans après les attentats de l'hyper casher de la porte de Vincennes à Paris.

Le prêche est en arabe, il est filmé, il ferait référence à une parole du prophète Mohamed qui appelle les musulmans à tuer les juifs.

Le sermon de l'imam Tataï fait réagir jusqu'au sommet de l'état. Gérard Collomb, alors ministre de l'intérieur dénonce des propos qui incitent à la haine. Laurent Wauquiez alors à la tête des Républicains et  Bernard Carayon, avocat ancien député et maire de Lavaur demandent l'expulsion de l'imam. Aujourd'hui le Tarnais reste sur la même ligne, il demande l'expulsion et la déchéance de nationalité. 

Le procès décontextualisé devrait se concentrer sur la seule question de la liberté d'expression : que peut-on dire dans un prêche ? Quelle est la portée de ce qui est dit ?

"Comme un appel à la guerre"

Maître Simon Cohen  représente le CRIF, la LICRA et l'association cultuelle israélite de Toulouse. Pour lui il est évident que face au vaste auditoire de ce jour de décembre 2017 de tels propos peuvent être compris "comme un appel à la guerre". 

L'imam, toujours en fonction, encourt jusqu'à 1 an de prison et 45 000 euros d'amende.

Les avocats de l'imam vont demander la relaxe. Contacté par France Bleu Occitanie, l'un d'entre eux maître Jean Iglésis, a fait savoir qu'il souhaitait attendre l'audience avant éventuellement d'accorder une interview aux médias.

source https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/toulouse-l-imam-tatai-juge-ce-mardi-pour-incitation-a-la-haine-raciale-1624886571

 

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